Zenith | DEFY Extreme Desert
En collaboration avec le photographe naturaliste Kourosh Keynejad, Zenith a célébré le lancement de la première édition spéciale du chronographe Defy Extreme. A cette occasion, la maison locloise s’est aventurée sur des territoires inexplorés, donnant naissance à une pièce qui tient autant de l’horlogerie de précision que de l’œuvre d’art portable. Puisant son inspiration dans les paysages désertiques sauvages et arides, ce garde-temps représente une réinterprétation plus artistique du chronographe monolithique au 1/100e de seconde, et la première d’une série en développement de modèles inspirés par des environnements extrêmes. Habillée d’un boîtier en titane, la montre Defy Extreme Desert évoque l’horizon sablonneux sans fin d’une manière singulière et sans précédent. Les protège-poussoirs ainsi que la lunette dodécagonale sont réalisés en œil de faucon, une pierre précieuse opaque bleu-gris en quartz macrocristallin qui doit son nom à l’oiseau de proie qui accompagne les nomades du désert depuis des siècles, planant au-dessus de l’horizon et symbolisant la détermination et l’endurance.
Après des années de voyages en solitaire à travers le monde vers les destinations les plus extrêmes et les plus reculées, dont il a saisi l’essence dans des images étonnantes, le photographe d’origine britannique basé en Californie s’est fait un nom avec ses images à couper le souffle, faisant ressortir la beauté invisible de la nature sauvage.
Accompagnant le lancement de l’édition Defy Extreme Desert, Kourosh Keynejad a saisi pour Zenith un ensemble exclusif d’images inspirées par ce chronographe évocateur, marquant ainsi la première fois que l’artiste se lance dans un projet photographique pour une marque. Composées de neuf images réparties en trois triptyques sur les thèmes «Wind Carved Canyons», «Deserted Dunes» and «Starry Nights», les photographies ont été prises dans les quatre étendues désertiques d’Amérique du Nord, le Grand Bassin ainsi que les déserts de Mojave, de Sonoran et de Chihuahuan. Au cours des semaines et des mois à venir, les clichés pourront être découverts dans le cadre d’une exposition itinérante, qui débutera à la FIAC à Paris avant de se rendre à Dubaï et à Tokyo avant la fin de l’année.